Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 20:12
Après la Bourse du travail, le Maire s’en prend aux militants
jeudi 4 juin 2015 , par Sabine Ferry

Nouveau rebondissement dans l’affaire de la Bourse du travail du Blanc-Mesnil, en Seine Saint-Denis.

Depuis le 31 décembre 2014, la maison des syndicats est, selon les vœux du Maire Thierry Meignen, fermée. Pour protester contre cette « décision brutale », comme le souligne la CGT du 93 dans un communiqué, salariés et militants étaient rassemblés devant le site le 30 avril dernier. « Une initiative pacifique, sans aucune provocation ni quelconque violence », précise le texte. En revanche, des animateurs de la ville, présents sur les lieux, ont adopté des comportements agressifs et menaçants. L’un d’eux, comme le mentionne le communiqué, a brisé une vitre et « s’est rendu coupable de violence vis-à-vis d’un militant ». Acte ayant entrainé une intervention médicale avec des points de sutures. Une autre militante a, quant à elle reçu des bris de vitre au visage provocant des blessures. Une plainte a été portée.

Lors de cette occupation, seuls trois adultes étaient présents selon le syndicat. Vérité dévoyée par le Maire, qui menace de porter plainte. La CGT se réserve ainsi le droit d’attaquer en justice, si plainte il y a, toutes les personnes, dont le Maire, qui ont versé dans la calomnie afin d’attenter à l’image de la CGT.

* Voir le dossier sur les libertés syndicales : syndicalistes... pas voyous

Partager cet article
Repost0
4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 20:11
Le gouvernement fait le choix du démantèlement du groupe AREVA et ouvre la porte à une privatisation rampante de la filière nucléaire
jeudi 4 juin 2015

En affirmant que la filière nucléaire « est essentielle à l’indépendance énergétique de notre pays, à la réussite de la transition énergétique et à la production d’énergie décarbonée », le gouvernement reconnaît ce que la CGT revendique depuis longtemps.

Et pourtant, alors qu’il prétend refonder la filière nucléaire française, il supprime des emplois en soutenant les mesures de réduction des effectifs et d’économies drastiques projetées chez AREVA, avec tous les dangers qu’elles engendrent sur le plan industriel et sur les compétences, et toute l’injustice qu’elles commettent vis-à-vis des salariés qui n’ont pas démérité et à qui on veut faire payer l’addition.

Le premier effet du plan présenté hier est de conduire à un démembrement d’AREVA, réduit aux anciens périmètres de COGEMA et TECHNICATOME.

C’est un plan principalement tourné vers l’export et l’augmentation des marges financières au risque de fragiliser encore plus la filière sur le sol français.

Des questions, pourtant cruciales pour l’avenir industriel et l’équilibre économique de la filière restent sans réponses :

- le montant de la recapitalisation, et ses modalités, ne sont pas précisés ; 
- le devenir des activités d’AREVA NP (réacteurs), qui seraient logées dans une filiale d’EDF, est pour le moins incertain ; 
- la gestion des contrats d’AREVA avec ses clients électriciens étrangers, pour ces mêmes activités, n’a pas été clairement abordée ; 
- la gestion des affaires, qui ont conduit AREVA à sa situation actuelle (EPR finlandais, URAMIN, ENR…) sur un périmètre d’AREVA réduit, rendrait encore plus délicate la situation du Groupe dans sa nouvelle configuration ; 
- la maîtrise des technologies par le maintien et le développement des savoir-faire et des compétences ; 
- le gouvernement fait l’impasse sur les besoins de financement dans les outils industriels et sur leurs impacts financiers pour EDF, soumis par ailleurs à ses propres contraintes.

Le projet de refondation se résume aux seuls Groupe EDF et AREVA, alors que la dimension filière englobe les outils de recherche abrités par le CEA et tout le tissu industriel d’entreprises sous-traitantes nécessaire au fonctionnement de la filière. Des questions émergent d’ores et déjà dans les territoires. La CGT rappelle qu’un plan de 2000 suppressions d’emploi est en cours à Vallourec.

Cette refondation de la filière nucléaire ne répond pas aux besoins industriels, sociaux et environnementaux.

La CGT a interpelé les groupes parlementaires sur l’ampleur du dossier et les enjeux qu’il porte.

La CGT revendique un débat national et appelle les salariés à se mobiliser localement et nationalement pour peser sur les choix.

Montreuil, le 4 juin 2015.

Partager cet article
Repost0
2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 19:48
Pétition syndicale unitaire : Les retraités disent ça suffit !
mardi 2 juin 2015 , par Frédéric Dayan

Les organisations syndicales de retraités CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, FSU, SOLIDAIRES. FGR-FP, LSR et UNRPA ont lancé une campagne de signature de cartes pétition qui seront remises le 1er octobre par l’Intersyndicale à la Présidence de la République.

Les unions confédérales de retraités revendiquent ainsi :

  1. l’arrêt du gel des pensions et l’abrogation des mesures fiscales régressives contre les retraités ;
  2. l’amélioration du pouvoir d’achat des retraités et aucune pension inférieure au smic pour une carrière complète ;
  3. le retour à une revalorisation annuelle des pensions au 1er janvier de l’année prenant en compte l’évolution des salaires ;
  4. la mise en œuvre dès 2015 d’une loi sur l’adaptation de la société au vieillissement avec la prise en charge de la perte d’autonomie par la Sécurité sociale ;
  5. le développement et le renforcement des services publics indispensables à une vie digne, en particulier dans le domaine de la santé.

Dans cette campagne, l’objectif de l’union confédérale des retraités CGT est de recueillir 30 000 signatures.

Télécharger la carte pétition

Partager cet article
Repost0
2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 19:46
Le projet de loi sur le dialogue social tourne le dos à une véritable démocratie sociale
mardi 2 juin 2015

Les députés ont voté, en première lecture, le projet de loi relatif au Dialogue social et à l’emploi, par 301 voix pour, 238 contre, et 13 abstentions.

Pour la CGT, ce qui importe, c’est le cœur de ce projet de loi. Les débats sur certains d’amendements qui ont surgis, ne sauraient en détourner l’attention. Or, le cœur de ce projet de loi reste inchangé.

En dépit de l’analyse et des propositions portées par la CGT, les députés ont adopté des dispositions qui tournent le dos à une véritable démocratie sociale par un développement de la citoyenneté au travail.

L’intervention du législateur est parfois allée dans le bon sens.

C’est le cas sur le renforcement des missions pour les Commissions paritaires interprofessionnelles régionales pour les salariés des TPE. Beaucoup reste cependant à faire pour une « universalité » et une proximité de la représentation collective des salariés des petites entreprises.

Les mesures en matière de valorisation des parcours professionnels des élus sont étendues à tous les titulaires d’un mandat syndical.

La place des administrateurs salariés est améliorée par un abaissement du seuil de mise en place à partir de 1 000 salariés et la fixation d’un nombre minimal de deux administrateurs par conseil.

Reste que ces avancées, qui reprennent des revendications portées par les organisations syndicales, demeurent marginales au regard de l’ensemble du texte.

La CGT avait alerté sur la nécessité de promouvoir et garantir une présence en IRP de proximité.

Le projet de loi, par sa logique de simplification, éloigne les salariés de leurs représentants, notamment dans les entreprises à établissements multiples. Certes les parlementaires ont rétabli la présence systématique des suppléants aux réunions d’instances, mais dans le même texte, ils rendent plus contraignante la prise des heures de délégations par l’instauration d’un délai de prévenance de 8 jours de l’employeur pour les membres de la DUP.

La fusion des instances représentatives du personnel, la fragilisation du CHSCT par voie de conséquences, demeurent des points saillants du projet. L’amélioration des conditions de travail, la prévention des risques professionnels, le droit d’expression des salariés sur les conditions d’exercice de leur travail risquent de faire les frais de ces dispositions. Même pour les entreprises classées à risques, les députés permettent qu’elles se passent de CHSCT sous couvert d’accord majoritaire.

Les dispositions prévues concernant l’information / consultation, le regroupement et la modification de la périodicité des négociations sont confortées par les parlementaires. Au regard du projet initial, la mobilisation de la CGT et des associations féministes a permis de faire reculer le gouvernement qui s’apprêtait à compromettre la capacité d’action des représentants salariés sur l’égalité femmes / hommes. Pour autant des points durs demeurent comme la dilution de cette question dans une négociation « Egalité professionnelle et qualité de la vie au travail », et la possibilité de négocier tous les 3 ans, tout comme sur les salaires.

Les parlementaires n’ont pas modifié les dispositions visant à faciliter la négociation sans délégué syndical, malgré la demande de la CGT et des autres organisations syndicales.

Le maintien du salaire dans le cadre du congé de formation syndicale n’est pas assuré en l’état actuel du texte. Pour l’instant, le gouvernement n’apporte pas de réponse à la demande unanime des organisations syndicales visant à conforter juridiquement l’hébergement des organisations syndicales.

Pour la CGT, l’information et la mobilisation des salariés et de leurs représentants dans les entreprises, sur ce projet de loi, doit s’intensifier et contribuer à transformer le texte.

Le développement des droits et moyens syndicaux, le recul des discriminations et les atteintes aux libertés syndicales, la promotion de la citoyenneté au travail, sont des priorités qu’elle entend faire valoir, notamment à l’occasion d’une journée d’action le 23 septembre prochain.

Montreuil, le 2 juin 2015

Lire http://www.cgt.fr/IMG/pdf/-35.pdf

Partager cet article
Repost0
2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 19:45
La CGT force de propositions pour l’emploi dans les TPE/PME
mardi 2 juin 2015

Alors que le Premier ministre rencontre l’ensemble des organisations patronales et syndicales pour recueillir leur avis sur les changements à opérer afin de favoriser l’emploi dans les TPE/PME, le nombre de chômeurs poursuit sa montée vertigineuse. En effet, au mois d’avril, on enregistre 54 100 demandeurs d’emploi supplémentaires toutes catégories confondues (A, B, C). Le nombre de chômeurs de longue durée, le chômage des jeunes et des seniors augmentent respectivement de 1,1%.

Hier, dans le cadre du rendez-vous bilatéral avec la CGT, Manuel Valls s’est engagé à « ne pas toucher au contrat de travail ». Philippe Martinez et la délégation CGT s’en sont félicités mais ont insisté sur le fait que, si les difficultés financières de TPE-PME sont réelles, elles ont un impact direct sur les conditions de travail et salariales. Pour la CGT, l’objectif de favoriser l’emploi dans les TPE/PME demande économiquement de revoir :

- les conditions d’accès aux crédits, en abaissant les charges d’emprunts et de commissionnements pour les PME/TPE ;

- l’accès aux aides publiques, en évaluant les dispositifs existants et en conditionnant l’accès aux aides, au respect de critères tels que le respect du minima de branches, l’égalité de traitement hommes/femmes, etc… ;

- l’impôt sur les sociétés, souvent plus lourd pour les TPE/PME que pour les grandes entreprises, en le modulant en fonction du comportement des sociétés en matière d’emploi, d’investissement productif, de formations, de recherches … ;

- les relations inter-entreprises, en équilibrant les relations entre les types d’entreprises et en passant de la sous-traitance à la « cotraitance », pour améliorer les conditions salariales et sociales dans les TPE/PME ;

- les salaires et qualifications, en revalorisant les salaires et en garantissant la reconnaissance des qualifications et le déroulement de carrière, comme la situation des salariés des TPE/PME l’exige et comme le demandent les salariés de ces entreprises. En moyenne, les salariés des TPE demandent 400€ d’augmentation par mois, soit une augmentation au niveau du SMIC que nous revendiquons.

Sur le droit d’expression et de représentation dans les TPE, la CGT a souligné que la mise en place des futures Commissions paritaires régionales interprofessionnelles (CPRI) pour les salariés des entreprises de moins de 11 salariés constituera une avancée limitée. Au mieux les quelque 4 600 000 salariés auront en effet 130 représentants syndicaux (10 par région), qui disposeront, chacun, de seulement 5 heures par mois, soit 6 secondes par salarié et par an.

Concernant la revendication patronale sur l’instauration d’un barème d’indemnités prud’homales en cas de licenciement d’un salarié, la délégation de la CGT a dénoncé l’effet désastreux d’une telle mesure qui pourrait conduire certaines entreprises à encore moins respecter le droit du travail. Nous avons préféré défendre l’idée de l’augmentation des moyens pour les futurs représentants des CPRI (proximité, heures, nombres, moyens) afin de favoriser un dialogue préventif et non conflictuel.

Ne nous le cachons pas : si le dialogue existe dans ces entreprises, le dialogue social y est aujourd’hui quasi inexistant, et pour cause ! Grand nombre d’employeurs le rabâchent sans cesse : ils veulent rester « maîtres chez eux »… une vision d’un autre temps.

Montreuil, le 2 juin 2015.

Partager cet article
Repost0
28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 20:27
Réforme des régimes de retraite complémentaires : Le Medef doit revoir sa copie !
jeudi 28 mai 2015

Quand les organisations syndicales portent le même message, le Medef est contraint de revoir sa copie. Lors de la séance de négociation sur les régimes de retraite complémentaires des salariés (ARRCO) et cadres (AGIRC) du privé, qui se tenaient le 27 mai, elles ont récusé unanimement le recul à 67 ans de l’âge effectif de départ en retraite et exigé de nouvelles ressources pour les régimes avec une contribution financière du Medef.

Le projet du Medef a donc été jugé inacceptable. La CGT a affiné les chiffrages de ses propositions permettant de rétablir durablement les équilibres financiers des régimes sans réduire le niveau des prestations.

Le rassemblement organisé le 27 mai par la CGT devant le Medef a permis de porter les exigences des salariés, des demandeurs d’emploi et des retraités, en particulier le refus de tout nouveau recul de leurs droits sociaux.

Une prochaine réunion de négociation aura lieu le 22 juin. Son issue dépendra de l’intervention des salariés et des retraités qui peuvent d’ores et déjà signer massivement la pétition en ligne ICI www.cgt.fr/Pour-resorber-les....

Montreuil, le 28 mai 2015.

Lire Les propositions de la CGT pour financer durablement les régimeswww.cgt.fr/spip.php ?page=art...

Lire aussi le dossier complet sur les négociations ARRCO-AGIRC 2015 www.cgt.fr/-Negociations-ARR....

Partager cet article
Repost0
28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 17:21
La culture : une priorité pour notre société, une priorité pour la CGT
jeudi 28 mai 2015

Les attentats du mois de janvier ont jeté une lumière particulièrement dramatique sur les inégalités et les fractures sociales et culturelles qui traversent notre pays. La crise des sociétés occidentales est certainement une crise économique et du travail, mais c’est aussi une crise de sens et une crise de la représentation qui se propage sur le terrain de la précarité et de la pauvreté.

Nous avons plus que jamais un besoin vital de culture pour combattre les replis mortifères, le recours à la violence, le retour préoccupant des idées nauséabondes, et tous les extrémismes. La culture n’est ni une marchandise ni un supplément d’âme, elle est essentielle à la rencontre, au partage, à la construction d’un monde libre, divers et heureux. La culture est indispensable au renouvellement de la démocratie.

L’essor d’une démocratie culturelle passe nécessairement par des politiques publiques culturelles fortes, clairement assumées par la puissance publique. Mais à rebours de cet objectif incontournable, l’Etat, depuis l’alternance de 2012, poursuit dans la voie du désengagement et de la dérégulation. Ces orientations libérales mettent en péril les politiques culturelles. Elles nuisent gravement à l’effort engagé par les territoires dans le développement de la culture depuis trente ans et font obstacle au renforcement, pourtant lui aussi déterminant, de l’action partagée et complémentaire de l’Etat et des collectivités territoriales.

Ce désengagement que nous dénonçons s’inscrit dans la logique aveugle et destructrice de la « réforme » de l’Etat. Ces mesures nocives et de longue durée se conjuguent aujourd’hui avec une réforme territoriale arbitraire. Menée tambour battant, elle menace de nombreux services publics au moment où les populations en ont tant besoin et où les usagers réclament plus de proximité et, une fois encore, plus d’écoute et de démocratie.

Dans ce paysage de la culture très détérioré, le ministère de la Culture, pierre angulaire des politiques publiques culturelles, n’est pas épargné. Sous les effets additionnels de la « réforme » de l’Etat et la Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTRe), les Directions régionales des affaires culturelles (DRAC) sont directement menacées de disparition alors qu’elles sont un outil remarquable au service de l’égalité de traitement des hommes et des femmes devant la culture sur l’ensemble du territoire. Les DRAC emploient 2450 agents forcément inquiets pour leur avenir.

Si le ministère de la Culture doit se repenser pour répondre aux enjeux actuels, nous ne pouvons tolérer qu’il glisse peu à peu vers une politique de l’offre et qu’il soit soumis à la loi du marché au risque de dégâts considérables pour le service public, comme en atteste notamment la mise en concurrence de l’archéologie préventive ou encore la dérive entrepreneuriale des musées et monuments nationaux.

Pour la culture, pour ses professionnels et ses acteurs, pour les artistes et créateurs, la situation est à présent tout à fait critique. Comme si la stigmatisation des intermittents du spectacle n’y suffisait pas, ce sont à l’heure actuelle près de 150 festivals et structures qui sont annulés, supprimés et fermés dans les domaines, entre autres, de la musique, du théâtre, de la danse, des arts plastiques, des arts de la rue, de la littérature, ou encore les Maisons des Jeunes et de la Culture (MJC). Cette hécatombe consécutive à la suppression de subventions publiques et à la réorganisation des régions conduit à la perte de dizaines de milliers d’emplois et à la fragilisation de tout un tissu économique, direct ou indirect.

Au-delà des décisions budgétaires et de l’austérité à tous les étages, certaines collectivités se livrent à une véritable censure d’artistes.

De même l’audiovisuel public est soumis à une série d’injonctions paradoxales : d’un côté revoir ses missions, repenser ses programmes de fond en comble, de l’autre affronter une toujours plus importante amputation de ses moyens ; d’un côté une exigence de service public, de l’autre une gestion d’économies à court terme et des atteintes au pluralisme d’opinion, à France TV, à Radio France…

Le monde de la culture a toujours su faire preuve d’une forte capacité de mobilisation et de résistance. Ce sont justement aujourd’hui cette même urgence et ces mêmes valeurs qui sont à l’ordre du jour.

La culture est une priorité pour toute la CGT. La CGT porte l’exigence de démocratie culturelle dans ses orientations et revendique une loi de programmation et d’orientation pour la culture, bien plus ambitieuse que le projet de loi « Liberté Création Architecture Patrimoine » qui arrive bientôt (et enfin) au Parlement. C’est pourquoi la confédération soutient pleinement le combat de l’ensemble des professionnels et des personnels de la culture.

Montreuil, le 28 mai 2015.

Partager cet article
Repost0
28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 17:16

PRIVASIls sont inquiets pour l'avenir de la maternité

Plus de 70 personnes ont manifesté, ce jeudi matin, devant le centre hospitalier de Privas. Ce rassemblement a été organisé par l'association des usagers et personnels de santé. Alors qu'une gynécologue vient de partir, ces manifestants s'inquiètent de l'avenir de la maternité de la ville-préfecture de l'Ardèche. Même si la direction s'active pour le recrutement d'un nouveau médecin, le personnel, l'association et des syndicats (FO et CGT) ne sont pas rassurés.

La maternité de Privas
Partager cet article
Repost0
28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 17:08
Des milliards d’euros pour les actionnaires, des milliers de suppressions d’emplois pour les salariés
jeudi 28 mai 2015 , par Philippe Gelinaud

La coordination des syndicats CGT du groupe total appel à manifester, vendredi 29 mai, contre la « politique de désengagement industriel, de casse sociale et d’austérité salariale » de la direction, pour que l’argent aille à l’emploi et aux salaires.

12 milliards d’euros de bénéfices, 7 milliards de dividendes pour les actionnaires, le syndicat fait remarquer que le groupe Total a connu une très bonne année 2014. Côté salariés, par contre, les suppressions de postes continuent de se succéder.

Dans un communiqué du 28 mai 2015, la coordination des syndicats CGT du groupe total dénonce les ventes de filiales, la mise en gérance des stations-services en France, les restructurations dans le raffinage et autres arrêts d’unités qui sont autant d’éléments significatifs d’une gestion financière plus qu’industrielle de l’entreprise.

La CGT Total souligne la nécessité d’investir dans les salaires et dans l’emploi, notamment dans la recherche pour garantir la pérennité de l’entreprise, et appelle donc à manifester, vendredi 29 mai 2015 de 10h00 à 14h00, à la Porte Maillot.


PDF - 294.1 ko
Cliquer l’image ci-dessus pour voir le communiqué de la coordination des syndicats CGT du groupe Total du 28 mai 2015.
Partager cet article
Repost0
27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 17:15
Partager cet article
Repost0